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Et si, pour une fois, les yeux et les oreilles travaillaient ensemble ?
 Le podcast audio a déjà conquis pas mal de terrain dans la communication entreprise, mais depuis quelque temps, une version un peu plus ambitieuse s’impose dans le paysage : le podcast vidéo.
Mi-format télé, mi-format conversation, il coche toutes les cases de la communication d’aujourd’hui : humain, accessible, souple, direct. Dans un contexte où les messages corporate finissent souvent noyés dans une mer de mails et de slides soporifiques, le podcast vidéo remet un peu de chaleur dans les tuyaux.
Et non, il ne s’agit pas juste de filmer quelqu’un qui parle devant une webcam.
 Le podcast vidéo d’entreprise peut devenir un véritable format stratégique, s’il est bien utilisé.
Entre les messages Slack, les visios, les emails et les bulletins internes, les collaborateurs sont saturés d’informations écrites. On scanne plus qu’on ne lit, on zappe dès la troisième ligne, et même les messages importants se perdent dans le bruit.
Le podcast vidéo vient casser cette dynamique en ajoutant de la voix, du visage et de la narration.
 On peut écouter tout en faisant autre chose, mais aussi se reconnecter visuellement avec une personne, une intention, un message. C’est une forme de communication plus vivante, qui réactive l’attention sans effort.
Prenons un cas concret : une direction RH qui souhaite expliquer un nouveau dispositif interne. Un PDF de 8 pages ou une infographie statique ? Bonne chance. Un podcast vidéo de 5 minutes avec une responsable RH qui explique clairement le « pourquoi » et le « comment », avec des coupes, un ton naturel, une touche d’humour ? Là, on a une chance que le message passe. Et qu’il reste.
Il ne faut pas confondre simplicité et amateurisme.
 Un podcast vidéo d’entreprise n’a pas besoin d’effets spéciaux, mais il doit respecter quelques règles de base pour être efficace : bon son, lumière correcte, rythme fluide, structure claire. Le fond compte évidemment, mais la forme n’est pas à négliger. Une mauvaise qualité technique, et l’auditeur décroche en 10 secondes.
Cela dit, inutile de transformer la salle de pause en plateau TV.
 De plus en plus d’entreprises optent pour des formats très légers : une caméra posée, une interview menée en interne, un générique discret, et c’est tout. L’important, c’est l’intention. Un collaborateur qui parle à d’autres collaborateurs avec sincérité, c’est mille fois plus impactant qu’un PowerPoint animé avec une voix robotisée.
Certaines startups vont même plus loin : elles utilisent le podcast vidéo pour faire parler des équipes projet, des alternants, ou des métiers dans l’ombre. C’est un moyen malin de valoriser les collaborateurs tout en créant du contenu utile et vrai. Et ça coûte… presque rien.
On peut avoir une super idée de podcast vidéo, une équipe motivée, un message clair… et rester bloqué par la technique. Bonne nouvelle : aujourd’hui, créer un podcast en vidéo ne demande ni studio pro ni matériel hors de prix. Voici une sélection d’outils concrets pour chaque étape, testés et approuvés par des boîtes qui n’ont pas 40 personnes en com’.
Bref, plus d’excuses techniques : l’entrée dans le format est beaucoup plus simple qu’on ne le croit.
Tourner un podcast vidéo, c’est bien. Le rendre fluide, agréable et professionnel, c’est encore mieux.
 La postproduction joue un rôle clé pour transformer une simple prise de parole en contenu captivant, sans pour autant nécessiter des compétences de réalisateur.
Voici les points essentiels à travailler :
Quelques outils accessibles :
Et pour centraliser toute la gestion du projet de postproduction, éviter les boucles de mails sans fin et mieux collaborer entre équipes, des solutions comme Rushup.io permettent de structurer, piloter et organiser les contenus vidéo et audio.
 Pas de diffusion intégrée, mais un vrai gain d’efficacité dans la gestion de vos podcasts internes : validation, versioning, habillage, sous-titres, tout est centralisé.
Une bonne postproduction, ce n’est pas juste du “polish”, c’est ce qui transforme un message brut… en un contenu qui marque.
Le podcast vidéo n’est pas réservé à la com’ institutionnelle. Au contraire, son potentiel s’exprime pleinement dans des cas très variés. Voici quelques usages que l’on voit émerger dans les entreprises :
Ce format crée une proximité rare, surtout dans les grandes structures où tout le monde ne se croise pas. Il donne aussi une vraie visibilité à des messages qui, autrement, passeraient sous les radars.
Regarder un podcast vidéo pendant qu’on déjeune, l’écouter en fond en traitant ses mails, le lancer sur mobile entre deux réunions…
 Le format s’adapte aux nouveaux rythmes de travail, au télétravail, au flex office, à la mobilité. Là où l’intranet reste figé, le podcast vidéo est fluide et multi-support.
Et surtout, il crée un rendez-vous. Une série bien pensée, diffusée régulièrement, finit par s’inscrire dans les habitudes. Un peu comme une mini-émission interne que les équipes attendent, partagent, commentent. C’est un changement de posture : on ne pousse plus l’info, on donne envie d’aller la chercher.
En bonus ? Le podcast vidéo est réutilisable. On peut l’extraire en version audio seule, le découper en clips pour les réseaux internes ou externes, le transcrire en texte pour en faire un article. Bref, un format trois-en-un, idéal pour les services com’ à effectif serré.
Évidemment, tout cela ne s’improvise pas. Même un podcast vidéo court demande un minimum de préparation : ligne éditoriale claire, format défini, organisation rigoureuse… mais on est loin du chantier insurmontable.
Aujourd’hui, des outils simples et accessibles permettent de lancer un pilote sans gros budget. Un smartphone récent, un micro-cravate à moins de 100 €, une lampe LED posée sur un bureau : voilà une base largement suffisante pour créer un contenu propre et engageant.
Pour structurer le projet, un tableau partagé ou un outil comme Notion fait très bien le job. Et pour éviter les aller-retours interminables, des solutions comme Rushup.io permettent de centraliser la postproduction, suivre l’avancée des épisodes, gérer les validations, ajouter des sous-titres, et gagner en fluidité.
Le bon réflexe ? Démarrer petit. Une série test de trois épisodes avec des profils variés : un dirigeant, un manager de terrain, un collaborateur. On observe ce qui fonctionne, on ajuste, on améliore. L’objectif n’est pas de sortir un podcast ultra léché tous les six mois, mais de trouver un format simple, sincère et régulier qui colle à la culture de l’entreprise.
C’est ce rythme, plus que la technique, qui crée l’engagement.
Le podcast vidéo coche les cases de la communication moderne : humain, mobile, authentique, multi-usage. Il n’est pas une mode, il est une réponse adaptée à des besoins très concrets : mieux informer, mieux engager, mieux connecter.
Et au passage, il fait passer des messages stratégiques sans forcer, en douceur. On n’a pas toujours envie de lire une note de service. On écoute plus volontiers un collègue raconter, en vidéo, ce qui va changer et pourquoi ça compte.
Le plus dur, finalement, ce n’est pas de lancer un podcast vidéo.
C’est d’oser changer un peu les habitudes.
Et ça, ça commence souvent… par appuyer sur “enregistrer”.
Envie de tester le format sans vous perdre dans la technique ?
Commencez par un pilote simple, avec les bons outils et un cadre clair. Et si vous voulez structurer votre processus de production de manière fluide, collaborative et professionnelle, explorez comment Rushup.io peut vous aider à cadrer vos projets de podcasts vidéo de A à Z — sans prise de tête.